A/ Les conséquences des réseaux sociaux : un bilan nuancé
On a vu précédemment que les réseaux sociaux connaissent une importante augmentation des internautes. Nous allons maintenant observer que les réseaux conduisent à des conséquences. Dans un premier temps, nous allons exposer les conséquences négatives, et dans un deuxième temps les conséquences négatives.
1. Des conséquences positives pour les adolescents
Dans cette sous-partie, nous allons développer les conséquences positives des réseaux sociaux sur les adolescents ainsi que les préados qui s’inscrivent de plus en plus jeune dans la société grâce à ces derniers.
Dans un premier temps, les réseaux sociaux sont simples d’usage. Il est très facile de s’inscrire et les fonctions qui s’y rattachent sont très simples, par ailleurs, ces fonctions ces fonctions sont très pratiques. Tout d’abord, l’inscription aux réseaux sociaux est gratuite, il suffit juste de posséder une adresse e-mail, de donner son prénom et créer un mot de passe pour pouvoir accéder à son compte d’utilisateur. Donc, tout le monde peut s’inscrire sans qu’il y ait de discrimination entre les individus. Ensuite, selon l’article « Facebook, l’empire fragile » du magazine Alternative économique page 38 de novembre 2010, il est très pratique et très simple de poster des messages, des vidéos, des images, de constituer une liste d’amis, de créer des groupes d’intérêts entre des amis… en particulier Facebook qui réunit toutes ces fonctions dans un même réseau en ligne.
Puis, selon l’article « Facebook et alii…prudence » du magazine InterCDI de septembre / octobre 2010 page 75, les réseaux sociaux permettent de combler l’éloignement des proches, c’est-à-dire que grâce ces réseaux en lignes, il est possible de rester en contact avec des amis ou de la famille qui habiterai loin par exemple. Mais aussi, a une fonction ludique de pouvoir rencontrer de nouvelles personnes et donc de lier de nouveau lien d’amitié par exemple. De plus, selon l’article « Facebook et alii…prudence » page 75, les « murs » sur Facebook ou les « tweets » sur Twitter, permettent de se sentir moins seul et de combler parfois un manque affectif. Ainsi, cela créé des relations virtuelles entre les internautes qui peuvent faciliter les relations réelles entre les individus. Selon Yee Mikami, professeur de psychologie, les adolescents inscrits sur les réseaux sociaux ont moins de mal à se faire des amis dans la vie réelle grâce à leur vie virtuelle sur les réseaux en ligne, en revanche, ceux qui ont pas de compte d’utilisateur sur un réseau et qui ont des problèmes pour se faire des amis dans la vie réelle ne facilite pas leurs difficultés à lier des liens d’amitié avec d’autres personnes.
Enfin, les réseaux sociaux permettent une certaine autonomie et liberté des jeunes, en particulier des préados, c’est-à-dire les jeunes qui atteignent l’âge situé entre l’enfance et l’adolescence (8-12 ans). Tout d’abord, les réseaux sociaux rendent les préados autonomes au niveau culturel. Grâce à ces derniers, ils ont accès aux médias, à l’information, à l’actualité… ce qui leur permet de découvrir le monde extérieur et par conséquent être plus informé, plus à jour sur les aspects culturels du monde, alors que la génération d’avant, comme nous l’explique l’article « Préados, la liberté…en chambre » des Sciences Humaines de novembre 2010, N°220, page 42 et 43, était pas autant informé et donc avait moins de capacités culturelles que les jeunes de la génération d’aujourd’hui que l’on appelle « préados ». Par exemple, comme nous témoigne une mère dans cette article : « Moi je me souviens, à l’âge d’Eva, j’étais encore très petite fille. J’étais pas du tout branchée musique. Il n’y avait pas d’ordinateur, il n’y avait pas de télé. Moi je pense qu’à l’âge d’Eva ? Je ne savais pas qui était le président de la République. Coralie, par le biais des journaux, de la télé, elle sait qui sont Chirac et Ségolène Royal, c’est clair. Elle connait le monde. ». Ensuite, les réseaux sociaux permettent aux préados une autonomie sociale, car ils permettent aux préados de communiquer avec plus de personne, selon l’article « Préados, la liberté…en chambre » des Sciences Humaines, ils sont capables de s’exprimer plus facilement dans le monde social et ils communiquent avec leurs amis sur les réseaux sociaux par exemple sur MSN, Facebook ou Skyblog. Donc les préados obtiennent une certaine liberté et indépendances vis-à-vis de leur parents, par conséquent, cela leur donne une possibilité d’épanouissement puisqu’ils ont le sentiment d’être libre et donc plus « murs ».
2. Des conséquences négatives pour les adolescents
Dans cette sous-partie, nous allons développer les conséquences négatives des réseaux sociaux sur les adolescents d’aujourd’hui.
Pour commencer, selon Hélène Walker, directrice des études d’un collège parisien, les ados sont les plus accros aux réseaux sociaux, c’est-à-dire que les adolescents sont dépendant des réseaux sociaux, ils y consacrent la majeure partie de leur temps dessus. Par exemple, dans l’article Préados, la liberté…en chambre des Sciences Humaines, il est décrit qu’un jeune homme de 13ans, dès qu’il rentre de l’école, la première chose qu’il fait est de monter dans sa chambre et de se connecter sur son ordi ; et dans l’article Facebook tisse sa toile du journal Le Monde magazine du 9 octobre 2010, selon une enquête réalisé en 2010, les internautes passerai en moyenne 23h par mois.
ð Selon l’article Facebook, l’empire fragile du magazine Alternative économique
ð De novembre 2010
ð P.41
De plus, les réseaux sociaux deviennent un « besoin compulsif de vérifier constamment ce qui s’y passe, même si c’est sans intérêt », sur Facebook, par exemple, comme nous le dit l’article Facebook tisse sa toile. Par conséquent, les adolescents passent plus de temps sur les réseaux sociaux et moins de temps avec leurs parents puisqu’ils préfèrent communiquer avec leurs amis sur ces réseaux en ligne, coupe donc la communication avec leurs parents. Ensuite, les réseaux sociaux peuvent provoquer la perte de l’identité des internautes, c’est-à-dire que des internautes anonymes vole l’identité numérique (1) et raconte tout un tas de mensonges qui déstabilise la personne volé. Par exemple, comme le témoigne une jeune fille sur l’article sur l’article Marqué à vie du magazine Télérama du 6 octobre 2010, cela fait 8 ans qu’elle est victime d’un blog créé par un jeune du camp de vacances où elle est allée, et où il est possible de publier tout un tas de commentaires, plus cela allait plus les commentaires sur elle, étaient méchants, mensonger, … une fois une personne a écrit « brise les couples de ses copines en allant rejoindre leurs mecs à l’autre bout du monde », ce qui est complétement faux ; lorsqu’on tape son nom sur Google, elle trouve directement ce blog. On peut donc trouver beaucoup de mensonges qui peuvent conduire au ridicule ou pire, conduire à un harcèlement moral par les réseaux sociaux. De plus, le droit à l’oubli n’existe pas, c’est-à-dire que les informations publié sur un réseau social ne peuvent pas être effacé ou il est très difficile de les supprimer. Beaucoup d’internautes laissent des traces, c’est-à-dire des informations personnelles, sans avoir consciences que cela permet plus facilement d’être identifié et moins de l’ai oublié car les informations restent toujours dans la base de donnée du compte utilisateur, comme nous l’explique Michel Arnaud, maître de confiance en sciences de l’information à l’univers Paris X, dans l’article « Pris au piège des réseaux sociaux ? » du périodique Les clés du 26 mars au 1er avril 2008 (sans page)
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ð Article « Pris au piège des réseaux sociaux » du périodique Les clés
ð 2008
Aussi, dans l’article « Internet, réputation et droit à l’oubli » du magazine Télérama du 6 octobre 2010 page 28, il est dit à cause de l’inexistence du droit à l’oubli, les licenciements se multiplient, car certains adolescents qui ont mis des informations compromettantes par exemple, peuvent empêcher de trouver un emploi stables plus tard.
Puis, comme nous l’avons énoncé dans la sous-partie précédente, les préados sont aussi de plus en plus concernés par les réseaux sociaux. Cependant, cette nouvelle approche qui leur permettent de découvrir le monde à travers internet, peut aussi conduire la peur de l’extérieur, c’est-à-dire de leur vie réelle (lorsqu’ils sortent de leur chambre et de Internet).
Enfin, les réseaux sociaux conduisent à des conséquences techniques. Tout d’abord, il y a un risque d’attraper des virus (2) sur l’ordinateur directement à cause des réseaux sociaux. Par exemple, le virus intitulé « C’est pas toi là » qui propose de visualiser des photos, a été propagé à des milliers d’utilisateurs de réseaux sociaux (s’installe et se propage dans tout le carnet d’adresse des utilisateurs dès que l’on clique sur le lien). Ensuite, les utilisateurs des réseaux sociaux sont les principales cibles des spammeurs (3) selon l’article « Pris au piège des réseaux sociaux » du périodique Les clés de 2008, car ils ont accès aux informations personnelles des internautes, grâce à cela, ils envoient des courriers non-désiré dans les boites mails des internautes, ainsi, leur boite mail devient inondée de courrier malhonnêtes.
B/ Comment les éviter ?
Dans cette sous-partie, nous allons exposer toutes les solutions pour éviter ces conséquences. Pour cela, nous allons rédiger cette sous-partie sous forme d’un « mode d’emploi d’utilisation » des réseaux sociaux.
Il y a 3 principales étapes à suivre pour ne pas être exposé à ces conséquences.
ð Tout d’abord, il est impératif de vérifier les sources des réseaux sociaux comme l’auteur, la date, … pour être sure de la fiabilité du réseau social dans lequel vous voulez vous inscrire. Par exemple, il est important de lire les clauses de confidentialité, même si elles sont très longues, nous témoigne Cyril, 16 ans dans le journal « Pris au piège des réseaux sociaux ».
ð Ensuite, il est important de ne pas laisser trop d’informations personnelles sur les réseaux sociaux. Par exemple, sur certains sites, il est demandé un numéro de téléphone, un adresse ou autre, il faut faire attention et ne surtout pas donner ces informations personnelles, nous témoigne Emma, 16 ans, dans le magazine « Pris au piège des réseaux sociaux ».
ð Enfin, nous avons vu que le droit à l'oubli n'existe pas. Cependant, le droit au mensonge et le droit au secret existent. D'après, le magazine « Facebook et alii ... prudence »", il ne faut jamais donner sa vraie identité sur internet. Par conséquent, il faut donner une fausse identité. Par exemple, avoir recours à un pseudonyme (4), comme "Rantanplan". Même si Facebook exige de ne pas mettre de fausses informations, il ne faut pas obéir à cette requête. L'exhibitionnisme des réseaux sociaux peut-être dangereux, au niveau privé, comme au niveau professionnel qui peut amener à un licenciement.
Par conséquent, pour ne pas être pris au piège des réseaux sociaux, il faut prendre quelques précautions qui sont très importantes.